Quittant complètement l’argumentation de cette journée scientifique qui voulait s’occuper de l’informatique et de ses effets sur le sujet, voilà qu’une étude de cas est présentée pour essayer de comprendre ce qu’il en retourne de la névrose obsessionnelle. C’est cet homme-là qui s’occupe de la machine, fasciné qu’il est par elle. Même si cette obsession n’est pas réservée qu’à lui.