Vienne, cette ville fascinante, transformée, transportée par un renouveau culturel et artistique, une société en pleine mutation, inspira Freud. Au gré des rencontres, en observant, écoutant le bonheur des uns, les souffrances des autres, il s’en inspira et lui permit d’étudier la richesse de leur « patrimoine » respectif. Vienne, de langue allemande, langue qui aida Freud à structurer sa pensée analytique comme le dira plus tard Georges-Arthur Goldschmidt, traducteur de l’oeuvre de Freud. C’est d’ailleurs à Vienne que Freud utilisa pour la première fois le terme « psycho-analyse ».