En Italie, après la fermeture des hôpitaux psychiatriques il fallut inventer des lieux d’accueil pour les patients psychotiques qui nécessitaient protection et de soins. Est-il possible aujourd’hui pour les opérateurs, et les médecins du secteur, qui reconnaissent l’unicité du sujet, de concilier l’application des thérapies avec l’obligation d’une concertation, quand les directeurs administratifs, concentrés sur la bonne gestion économique de ces communautés, parlent un tout autre langage ?